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charité (n.f.)
1.acte fait par amour du prochain.
2.activité ou cadeau qui profite au grand public
Charite (n.f.)
1.déesses personnifiant la vie dans toute sa plénitude, et plus spécifiquement la séduction, la beauté, la nature, la créativité humaine et la fécondité.
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Charite (n.f.)
charité (n.f.)
aide, altruisme, âme, amour, assistance, aumône, bénignité, bien, bienfaisance, bienfait, bienveillance, bonté, cœur, complaisance, condescendance, désintéressement, don, douceur, fraternité, générosité, humanité, indulgence, libéralité, mansuétude, miséricorde, obole, offrande, philanthropie, pitié, secours, service, solidarité, vertu
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Voir aussi
charité (n.f.)
↘ charitable ↗ humain ≠ inhumanité
⇨ Bourguignon lès la Charite • La Charité-sur-Loire • Neuvelle lès la Charité • acte de charité • album de charité • amour charité • dame de charité • demander la charité • fille de la charité de St-Vincent de P. • fils de la charité • frère de la charité de Gand • implorer la charité • la Charité sur Loire • moine de la Charité • sœur de charité • vente de charité • vivre de la charité publique • œuvre de charité
⇨ Abbatiale Notre-Dame de La Charité-sur-Loire • Acte de charité • Aglaé (Charite) • Apôtre de la Charité • Auxiliatrices de la Charité • Bazar de la Charité • Bienfaisance et charité à La Neuveville-sous-Châtenois avant 1914 • Bourguignon-lès-la-Charité • Canton de La Charité-sur-Loire • Charité (Berlin) • Charité (homonymie) • Charité (sainte) • Charité biz'ness • Confrérie de charité • Couvent de la Charité • District de La Charité • Filles de la Charité • Filles de la Charité du Sacré-Cœur de Jésus • Filles de la Charité du Très Précieux Sang • Fils de la Charité • Foyers de Charité • Frères de la Charité • Frères de la charité de Gand • Gare de La Charité • Hôpital de la Charité • Hôpital de la Charité de Séville • Hôpital de la Sainte-Trinité dit hospice de la Charité de Beaune • La Charité du prestidigitateur • La Charité-sur-Loire • La Vieille Charité • Le Mystère de la charité de Jeanne d'Arc • Missionnaires de la Charité • Neuvelle-lès-la-Charité • Ordre de la Charité chrétienne • Principe de charité • Sœurs de la Charité de Montréal • Sœurs de la Charité de Saint-Louis • Sœurs du Très-Saint-Sacrement et de la Charité • Thalie (Charite)
Charite (n. f.)
déité grecque, dieu grec[Hyper.]
charité (n. f.)
bienfaisance[Classe]
bienfait[Classe]
pauvreté[termes liés]
pitié[termes liés]
acte de bonté[DomaineCollocation]
charité (n. f.)
cadeau, don[Hyper.]
Le Littré (1880)
1. Amour du prochain.
• Dans les nécessités extraordinaires sa charité faisait de nouveaux efforts (BOSSUET Anne de Gonz.)
• Ce n'était plus cet ardent vainqueur qui semblait vouloir tout emporter ; c'était une douceur, une patience, une charité qui songeait à gagner tous les coeurs et à guérir des esprits malades (BOSSUET Louis de Bourbon.)
• Je suis reconnaissant de la charité que vous avez pour mon âme (BOSSUET Lett. quiét. 12)
• J'ai appris la charité que vous aviez pour ce pays (BOSSUET Lett. 1)
• Nos pères ont eu plus de charité que cela (PASC. Prov. 8)
• Ces faux monnayeurs en dévotion, qui veulent attraper les hommes avec un zèle contrefait et une charité sophistiquée (MOL. 1er Placet au roi.)
• Les grands ne semblent être nés que pour exercer la charité (FLÉCH. Mont.)
• Il se croit obligé d'exercer la charité dans une profession cruelle (FLÉCH. Tur.)
• Qu'est-ce qu'une charité qui n'a point de pudeur avec le misérable, et qui, avant que de le soulager, commence par écraser son amour-propre ? (MARIVAUX Vie de Marianne, 1re partie, p. 34)
• Comme ils voulaient demeurer attachés à l'Évangile par leur devoir envers Dieu, et aux gens du monde par leur charité pour le prochain (PASC. Prov. 7)
Ironiquement.
• Marchangy, ce vrai sage, M'a fait par charité Sentir de l'esclavage La légitimité (BÉRANG. Liberté.)
Une des trois vertus théologales, par laquelle nous aimons Dieu comme notre souverain bien. La fin de la religion, l'âme des vertus et l'abrégé de la foi, c'est la charité.
• La charité, qui bannit la crainte, opère un si grand miracle ; et, sans autre joug qu'elle-même, elle sait non-seulement captiver, mais encore anéantir la volonté propre (BOSSUET Fr. Bourgoing.)
• La charité est la plus parfaite des vertus théologales (ST-CYRAN Théologie familière, dans RICHELET)
2. Acte de bienfaisance, aumône.
• Voilà des charités qu'il a faites pour le salut de ses frères (FLÉCH. Tur.)
• Il faisait une infinité de charités que personne ne savait (SÉV. 152)
• On lui vient demander des charités pour les églises (SÉV. 275)
• Je n'aimais pas qu'on me fît la charité (J. J. ROUSS. Conf. II)
• Ignace avait de quoi vivre honnêtement par les charités qu'on lui faisait (BOUHOURS Vie de saint Ignace, liv. II, dans RICHELET)
Absolument. Demander la charité, être à la charité, mendier.
Par antiphrase. Charité de cour, perfidie de courtisan.
Prêter des charités à quelqu'un, le calomnier.
• Lorsque le P. La Chaise eut cessé de parler, je lui dis que j'étais étonné qu'on m'eût prêté des charités auprès de lui (RAC. Lett. Boil. 45)
• Une de ces personnes qui prêtent doucement des charités à tout le monde, de ces femmes qui donnent toujours le petit coup de langue en passant (MOL. Impromptu, 1)
Nom, dans quelques ordres religieux, de la discipline qu'un religieux donne à un autre.
3. Les frères, les soeurs de la Charité, congrégations qui se vouent au soulagement de la misère.
• Il ne s'agit pas de faire de votre élève un frère de la charité (J. J. ROUSS. Ém. IV)
• Molière a terminé sa vie Entre deux soeurs de charité (BÉRANG. M. de santé.)
Frères de la Charité, ordre religieux fondé vers 1550 par saint Jean-de-Dieu pour le soulagement des malades ; ces religieux suivent la règle de Saint-Augustin ; ils bâtirent à Paris, dans le faubourg St-Germain, le célèbre hôpital qui porte encore leur nom.
Charité de Notre-Dame, religieuses de l'ordre de Saint-Jean-de-Dieu rendant aux femmes les mêmes services que les frères de Saint-Jean-de-Dieu rendent aux hommes.
Charité de Saint-Hippolyte, congrégation de religieux hospitaliers dans les Indes occidentales et qui rendent aux malades les mêmes services que les religieux de la congrégation de Saint-Jean-de-Dieu.
Religieuses de Notre-Dame-de-Charité, établies pour retirer du mal les pauvres filles ou femmes de mauvaises moeurs. Elles suivent la règle de Saint-Augustin et commencèrent en 1642.
Charité de la Sainte-Vierge, ordre religieux sous la règle de Saint-Augustin.
La maison où résident les frères, les soeurs de Charité.
• Il n'y avait [dans le domestique de Mme de Maintenon] d'un peu distingué que cette ancienne servante du temps qu'elle était à la Charité de Saint-Eustache (SAINT-SIMON 414, 209)
Charité, nom d'hôpitaux divers. La Charité de Lyon. La Charité de Paris.
Anciennement, la charité pour les pauvres honteux, service de charité composé uniquement du curé de la paroisse et des marguilliers et destiné aux pauvres honteux.
Anciennement, tous les pauvres malades d'une paroisse. Il est le médecin de la charité d'une telle paroisse.
4. Aujourd'hui, dame de charité, bureau de charité dame, bureau qui distribuent des charités.
Nom que, dans quelques localités, on donne à des confréries ou associations d'assistance.
5. Votre Charité, titre d'honneur donné aux princes de l'Église.
REMARQUE
La locution prêter des charités à quelqu'un, qui signifie le calomnier en lui attribuant une chose défavorable qu'il n'a pas faite ou dite, s'explique par une antiphrase : lui donner des charités, lui faire l'aumône d'une imputation calomnieuse ; locution à laquelle prêter ajoute une idée de méchanceté hypocrite, comme si le calomniateur ne faisait que prêter sa calomnie.
HISTORIQUE
XIIe s.— Ne tieng, fait sainz Thomas, de lui fius [fiefs], n'eritez, Ne rien en barunie : mais tut est charitez, E parmenable aumosne tut ço dont sui fieffez (Th. le mart. 45)— Deus, cum par est mainz huem pur le siecle avuglez ; N'i est amurs, ne fei, ne pais, ne charitez (ib. 121)— Puis le proia assez que un petit menjast, Preïst la charité, un petit se dinast, Mez li dus [duc] n'i vout prendre ne disner ne repas (WACE Rou.)
XIIIe s.— Ha ! rois, ce dist la vieille, pour sainte charité.... (Berte, XV)— Il oït parler de la grant carité del hospital d'Acre (Chron. de Rains, p. 107)— Ge t'ai veü carité prendre Deuz fois, sanz aller au mostier (Ren. 20610)
XIVe s.— L'enfant fut nourri ches le roy en honneur et en charité (BERCHEURE f° 20, verso.)
XVe s.— J'ai fait charité et hospitalité de tels biens que j'ai ceans à mon povoir (Perceforest, t. I, f° 12, dans LACURNE)
XVIe s.— Cela advenu, on l'eust pu calompnier d'estre adherant aux rebelles (car les gens de bien et d'honneur ne manquent jamais de presteurs de charité) (CARL. VIII, 7)— Charité oingt, peché poingt (LEROUX DE LINCY Prov. t. I, p. 7)— Les combats de nuict sont fort dangereux et subjects à de mauvaises charitez [traîtrises] (BRANT. Sur les duels, p. 202, dans LACURNE)— C'est une charité que l'on luy preste quand on l'accuse de cruauté (PASQUIER Recherches, liv. V, p. 427, dans LACURNE)— Comme disent les Hebreux, il faut commencer la charité par soy mesme (CHARRON Sagesse, p. 468, dans LACURNE)— Il me confirma en l'opinion que j'avoye que Maligny et d'autres ses compaignons lui avoyent presté ceste charité [d'être complice de la conjuration d'Amboise] (CONDÉ Mémoires, p. 551)
ÉTYMOLOGIE
Picard, carité ; provenç. caritat ; espagn. caridad ; ital. carità ; du latin caritatem, de carus (voy. CHER).
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
CHARITÉ. Ajoutez :
6. Nom, en Normandie, de confréries établies pour rendre les derniers devoirs aux morts.
• Les charités, d'origine fort ancienne, sont encore en plein exercice dans tout le Lieuvin (H. MOISY Noms de famille normands, p. 145)
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Dans le langage ordinaire, la charité est une vertu qui porte à désirer et à faire le bien du prochain. C'est un acte inspiré par l'amour du prochain, bienfait, aumône[1]. Dans le langage des théologiens, amour surnaturel de Dieu pour lui-même et du prochain comme créature de Dieu[2].
La charité est l'une des trois vertus théologales dans le christianisme, (aux côtés de la foi et de l'espérance). C'est la vertu reine des vertus : l'amour de Dieu et du prochain. Thomas d'Aquin ira jusqu'à dire qu'elle est la forme de toutes les vertus théologales.
La première encyclique du pape Benoît XVI s'intitule Deus Caritas Est, c'est-à-dire « Dieu est amour », citation de la Première épître de Jean.
La mise en pratique de la vertu de charité à l'égard du prochain est une œuvre de bienfaisance, un don, une aumône. Il s'agit alors d'une initiative privée désintéressée, dictée par la foi (chrétienne ou autre). Elle consiste à décider d'offrir du temps, un service, de l'amour, de l'argent... à une personne dans le besoin. Le terme désigne d'une façon générale la vertu qui porte à faire le bien d'autrui.
Sens dérivé du second, « la Charité » est le nom donné à certains hôpitaux ou hospices religieux, où ces œuvres de bienfaisance sont réalisées.
Sommaire |
Le mot « charité » est la francisation du latin caritas, -atis, signifiant d'abord cherté, puis amour. Cicéron, par exemple, prônait la « caritas generis humani », ce qu'on peut traduire par « amour du genre humain [3]». C'est par «caritas» que saint Jérôme, dans sa traduction latine (dite Vulgate) de la Bible, rend le mot grec agapê du Nouveau Testament. Le terme hébreu correspondant est hesed (חסד), que le dictionnaire Brown-Driver-Briggs traduit par « amour ». Le concept de hesed (charité, bonté, amour de Dieu et du prochain) apparaît à de nombreuses reprises dans l'Ancien Testament.
Dans une perspective chrétienne, la charité est la vertu théologale par laquelle on aime Dieu par-dessus toute chose pour lui-même, et son prochain comme soi-même pour l’amour de Dieu. La charité assure et purifie la puissance humaine d’aimer et l’élève à la perfection surnaturelle de l’amour divin.
Saint Paul a donné une définition : « Sans la charité, je ne suis rien… ». Et tout ce qui est privilège, service, vertu même, « sans la charité, cela ne me sert de rien. La charité prend patience, la charité rend service, elle ne jalouse pas, elle ne plastronne pas, elle ne s’enfle pas d’orgueil, elle ne fait rien de laid, elle ne cherche pas son intérêt, elle ne s’irrite pas, elle n’entretient pas de rancune, elle ne se réjouit pas de l’injustice, mais elle trouve sa joie dans la vérité. Elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle endure tout. […] Les trois demeurent : la foi, l’espérance et la charité. Mais la charité est la plus grande. » (I Co 13, 1-7. 13). Supérieure à ces deux vertus, elle constitue le « lien de la perfection[4]. »
Un exemple dans les Évangiles pour illustrer la charité est la parabole du Bon Samaritain, qui prend soin d'un inconnu blessé.
Depuis le Moyen Âge jusqu'au XIXe siècle ce sont les hospices qui accueillent les pauvres et les orphelins dans de nombreuses villes de France, gérées par des confréries ou les fabriques des paroisses ou par les filles de la charité (Sœurs de Saint Vincent de Paul) et ursulines) Elles s'organisent au niveau des paroisses en bureau de charité qui sont à l'origine des CCAS modernes (centre communal d'action social), et gèrent les Hôtels Dieu des communes et des villes Hôtels Dieu qui sont eux à l'origine de nos hôpitaux publics. La saisie des biens nationaux et la loi du 7 Frimaire an 5 (27 novembre 1796), provoquent la dissolution de toutes les fabriques, confréries, congrégations, et la gestion par les communes de la charité au travers du bureau de bienfaisance et des hospices civils (voir : Hospices civils de Lyon, conseil général des hospices de Paris APHP) Le Concordat de 1801 va rétablir partiellement l'intervention des œuvres religieuses. En permettant aux sœurs de revenir dans les hôpitaux mais sous le contrôle des municipalités, puis de l'État. Les bureaux de charité même quand ils gardent cette appellations vont rester sous le contrôle direct des municipalités. Les bureaux de charité et les bureaux de bienfaisance vont distribuer des aides en natures (nourriture, vêtement...) Cette activité étant au centre des préoccupations politiques au début du XIXe. Une des causes directes de la révolution de 1789 étant la crise frumentaire de 1788 ( le boulanger, la boulangère et le petit mitron ramenés de Versailles à Paris en 1792, chute de la royauté ). À la fin du XIXe, les aides en nature sont supprimées au profit des aides financières. Elles reprennent sous la forme moderne des restos du cœur de la banque alimentaire, des épiceries sociales, des soupes populaires.
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